TEST – Après avoir abattu autant d’ennemis comme un commando/soldat moderne dans d’autres jeux de la série Far Cry du genre “survivant”, nous pouvons finalement tester nos arcs préhistoriques et les lances sur nos ennemis. Nous sommes placés dans ce monde “primal” quand les hommes et femmes préhistoriques et ont marché sur Terre, ils mangeaient du paleo pour dîner et ils ont essayé de ne pas devenir le dîner de tigres.  Ne vous inquiétez pas pourtant, ce titre étant un jeu de Far Cry véritable, en plus de la chasse du mammouth et d’autres animaux exotiques, vous devrez tuer beaucoup d’humains aussi.

 

Quand j’ai d’abord vu le tout premier jeu de Far Cry, c’était juste une démonstration E3 avec une île exotique qui semblait agréable, mais il n’y avait pas d’interaction (ou de jeu) lié à ce démo. Franchement dit, je n’étais jamais un grand fan de la série de Far Cry – oui ils ont été ravissants, oui l’action était cool, mais ils manquaient toujours une histoire intéressante, un monde vraiment excitant, des zones vraiment intéressants pour explorer, ou (á part Far Cry 3.) un grand méchant singulier. J’ai bien aimé Far Cry 4, mais son système de monde ouvert m’a un peu ennuyé après des longues heures de gameplay, qui me ressemblait trop á Far Cry 3. Cependant, le monde préhistorique de Far Cry Primal a attiré mon attention…

Vous êtes Takkar, l’homme préhistorique

Le protagoniste principal du jeu est un homme des cavernes appelé Takkar (qui ressemble exactement au personnage principal du film Un million d’années avant J.C.: Tumak). Au début du jeu, Takkar fait partie du groupe des chasseurs des Mammouths Laineux, qui sont partis plusieurs jours sans nourriture pendant leur voyage à Oros.  Après la chasse réussi d’un mammouth laineux Takkar et son ami, Dalso sont séparé de leur troupe, ils sont embusqués par un tigre à dents de sabre.

Tout en étant coincé à un bord d’une falaise, Dalso sauve Takkar en le saisissant, mais cela cause les deux chasseurs à tomber en bas de la falaise. Takkar survit, mais Dalso a seulement quelques secondes pour vivre.  Avec son dernier souffle Dalso dit à Takkar de ne pas s’arrêter et de trouver Oros et le reste de leur tribu.

Takkar rencontre plus tard Sayla, une jolie chasseuse, qui remarque que Takkar est du tribu Wenja aussi. Ensemble ils commencent à réunir la tribu de Wenja et … et … l’histoire m’a un peu perdu après ce moment.  Bien sûr, nous devons nous battre contre quelques tribus rivales (qui n’ont aucun motif réel du tout de nous combattre).

Oui, nous avons quelques les bosses (masculins et féminines) cinglés comme toujours, et même quelques alliés qui sont plus fous encore, lesquels nous devons rallier à notre camp qui croit sans cesse.

Cependant, l’histoire est si minimaliste et pleine de clichés, que j’ai bientôt perdu l’intérêt concernant le scénario. Il s’agit essentiellement de l’exploration de la terre, la conversion d’alliés et la massacre sans cesse des membres des tribu ennemis.  C’est dommage, parce qu’il y avait assez de matériel et un monde totalement nouveau pour produire une histoire impressionnante – au moins au niveau d’un des bandes dessinées de Rahan, ou le film Un million d’années avant J.C.

Commande les tigres et soumet les braves !

Heureusement, tandis que l’histoire est assez bof, il y a beaucoup de choses amusantes à faire dans Far Cry Primal. Oui, c’est le jeu mondial ouvert habituel, avec une grande terre pour explorer, des missions principales et secondaires, de petits villages pour conquérir, des alliés pour se rallier à notre camp. Il y a quelques changements mineurs à la formule mondiale ouverte habituelle, mais essentiellement, c’est toujours la même chose que dans tous les autres titres Ubisoft.

Ce qui est tout de même amusant dans Primal, cependant, c’est que nous pouvons apprivoiser des différents genres d’animaux et les commander pour qu’ils chassent ou tuent des ennemis humains. Il n’y a rien de plus drôle que de contrôler un tigre à dents de sabre et le faire monter comme un cheval, ou de massacrer une tribu entière d’hommes des cavernes hostiles avec l’aide du tigre. Notre animal de compagnie fidèle peut même dévorer certains des cadavres ennemis bien que cette scène ne soit pas graphique.

Chaque animal a des attributs différents, qu’il s’agisse de marquer des ennemis dans un certain rayon ou de trouver de quoi manger. La première créature que vous apprivoisez, le hibou, peut être convoquée pour scruter des zones d’avant-postes des ennemies. Quand vous faites appel à votre ami à plumes, vous contrôlerz même l‘oiseau et vous pouvez marquer toute une zone et des ennemis d’une distance sûre. Il y a un certain rayon dans laquelle vous pouvez piloter l‘oiseau par rapport à où Takkar se trouve, donc le défi est quand même présent, même si le hibou se comporte comme s’il s’agissait des jumelles très efficaces.

Coordonner vos attaques de l’air devient crucial vers la fin du jeu quand vous serez chargés de conquérir de grands avant-postes avec rien que quelques bâtons et un ours géant. J’ai oublié de mentionner qu’á part le tigre (après qu’ils ont été apprivoisés bien sûr), d’autres animaux peuvent être montés aussi – même des ours, qui est peut-être un des éléments le plus cool du jeu.

Le combat est aussi vraiment captivant. En plus de l’utilisation de l’arc habituel, vous pouvez aussi utiliser la lance et la hache d’homme des cavernes, la sangle et d’autres armes amusantes, qui diffèrent finalement des AK 47 et compagnie des FPS habituels. Bien sûr, vous pouvez contourner votre ennemi, et en le surprenant l’attaquer de derrière et vous pouvez apprendre plus tard à sauter sur eux et les tuer instantanément aussi.

Une terre toujours vierge

Un autre aspect familier de série de Far Cry sont les graphismes attrayants dépeignant une nature fantastique, sauvage. Les jeux précédents ont représenté des jungles luxuriantes, des montagnes rebutantes et des îles magnifiques, mais mortelles. Dans la terre d’Oros ces éléments sont tous présents. Le territoire qui appartient au Wenja est mis au milieu d’une vallée pittoresque, complète avec des rivières, des cascades et une forêt dense avec des arbres si grand, qu’ils bloquent presque la lumière du soleil. Si vous voyagez plus loin, au nord, vous vous trouverez dans un paysage neigeux, cauchemardesque où seulement ceux qui sont très bien couverts et vêtus au plus chaud peuvent survivre. Au sud, vous avez des falaises rocheuses qui ont une vista magnifique à l’aube.

Le jour ou la nuit, l’éclairage est vraiment ensorcelant dans le Far Cry: Primal.  Quand vous poursuivez votre proie, les petits morceaux de clair de lune apparaissent entre les feuilles des arbres. Quand vous montez au sommet d’une montagne le ciel devient rouge, d’or ou vert. Vous serez terrifiés la première fois que pendant la nuit vous verrez le rougeoiement d’or des yeux d’un loup, tandis qu’il s’avance vers vous. C’est dommage, que dans toute sa beauté, Far Cry Primal échoue à cacher les défauts de son passé comme quelques problèmes de contrôle, ou ces éléments de monde ouvert qui sont vraiment abusés maintenant par Ubisoft.

C’est différent… mais aussi la même chose

Tandis que le cadre Far Cry est toujours familier, ces changements sont toujours bienvenus. Les arbres de compétence sont assez utiles et bien faits cette fois-ci, avec des compétences spéciales intéressantes que vous pouvez apprendre. Vous avez aussi des avant-postes, la chasse et une carte qui est plein d’icônes, et les armes à feu ont été remplacées par d’armes fabriqués. Ce monde est vivant plus que jamais auparavant et l’utilisation des créatures apprivoisés était vraiment une idée judicieuse dans Far Cry.

Cependant, le combat de mêlée fatiguera votre index parce vous devez écraser les boutons sans cesse et les éléments de survie pouvaient être mieux représentés aussi. Cependant, Far Cry Primal est excellent, en ce qui concerne les évènements momentanés, en particulier, quand vous montez votre tigre à dents de sabre, quand il vient vous aider de tuer un mammouth laineux ou quand vous êtes arrivés dans un camp ennemi en montant votre ours qui apprivoisé par vous, mais massacrera vos ennemies férocement.

-BadSector-

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Éditeur: Ubisoft

Développeur: Ubisoft Montréal

Genre:  TPS, monde ouvert,

Publication: 23 Février, 2016